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L’arrêt de paiement est un ordre émis à une banque par un titulaire de compte de ne pas payer un chèque inscrit sur son compte. Les ordres d’arrêt de paiement sont principalement régis par les lois des États et les réglementations bancaires, qui varient selon les États et les banques. Les banques facturent généralement des frais pour arrêter le paiement d’un chèque déjà émis à un bénéficiaire. L’arrêt du paiement sur un chèque afin d’éviter le paiement d’une dette légitime peut être un acte criminel de fraude, régi par les lois sur la fraude de l’État, qui varient selon les États. En règle générale, les lois sur la fraude des États exigent la preuve qu’il n’y avait pas de litige de bonne foi sur le montant de la dette au moment où l’ordre d’arrêt de paiement a été émis.

Voici un exemple de loi d’État régissant les ordres d’arrêt de paiement émis dans l’intention de frauder:

« (a) Une personne commet l’infraction de fraude au compte de dépôt lorsqu’elle fait, tire, prononce, exécute ou livre un instrument pour le paiement d’argent sur une banque ou un autre dépositaire en échange d’une contrepartie ou d’un salaire actuel, sachant qu’il ne sera pas honoré par le tiré ou émet un ordre d’arrêt de paiement ordonnant à la banque ou à l’autre dépositaire sur lequel l’instrument est tiré de ne pas honorer ledit instrument sachant que l’instrument ne serait pas honoré par le tiré. Aux fins de la présente section du Code, il est de prime abord prouvé que l’accusé savait que l’instrument ne serait pas honoré si :

(1)L’accusé n’avait aucun compte à rendre à la personne tirée au sort au moment où l’instrument a été fabriqué, dessiné, prononcé ou remis;

(2) Le paiement sur présentation dans les 30 jours suivant la livraison a été refusé par le tiré pour manque de fonds sur présentation dans les 30 jours suivant la livraison ou en raison d’un ordre d’arrêt de paiement émis sur un compte ne contenant pas suffisamment de fonds pour traiter l’instrument et l’accusé ou quelqu’un pour lui n’aura pas remis au titulaire de celui-ci le montant dû, ainsi que des frais de service, dans les dix jours suivant la réception d’un avis écrit indiquant que le paiement a été refusé sur cet instrument.



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